Episode 5 : Iconi (1/2)
Commentaires
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Je suis un homme vivant.Une personne qui sais dire non à son corps et oui à son esprit un homme qui malgré l'entourage aurait bâtit autant de merveilles.Je suis un cavalier ionien qui dans un désert aride aurait accepté de donner son eau à son cheval assoiffé et attendre que la pluie tombe et que le beau temps arrive. Je ne vous dis pas cela pour vous plaire mais parce que je suis d'iconi et que un cœur
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Le temps passe et la langue comorienne poursuit son périple d'enterrement total; or à chaque coucher de soleil apparaît une autre vie, celle des jeunes écrivains qui veulent s'exprimer et manifester leur mécontentement vis-à-vis de leur avenir aveuglé par des rêves. "le vrai courage est de faire ce qui est juste." Rien ne sert de courir il faut partir à point." Il faut savoir qu'un peuple sans langue est voué certainement à l'échec; les Comores ne doivent pas tomber alors dans un néant culturel faute d'une valorisation de sa langue, indispensable pour son développement durable.
Les jeunes iconiens ne doivent pas sombrer dans des tiraillements mesquins qui ne font qu'enfoncer la grande ville historique et culturelle des Comores. Une ville qui regorge des potentialités économiques capables de faire d'Elle "le Paradis comorien". par sa pêche, son tourisme, son agriculture, sa diversité culturelle, sa jeunesse épris de paix etd e développement; sa population accueillante, son artisanat, ses cardes capables de faire de cette ville une capitale interculturelle.
Oh jeunes iconiens !, unissez-vous pour faire barrage aux conflits inutiles qui handicapent la ville; Regardez l'avenir en face. "Que cent fleurs s'épanouissent à Iconi et cent écoles rivalisent" !Francophones; Arabophone et Anglophones, rassemblez-vous avec les analphabètes pour imaginer un projet de société à Iconi, un projet qui posera ses jalon sur une commune solide et non des quartiers qui constituent une structure traditionnelle qui nous enlise dans un système de d'inégalité, de tiraillement. -
Je suis un vieux routier de la ville d'Iconi des années 80 à 93 qui n'est pas capable actuellement ou je ne sais pas car tout dépend de la conscience, d'escalade le mont Djabal vu l'âge mais qui détient un savoir précieux qui lui a été transmis par l'air marin sur le sommet du Djabal au moment de ses méditations et qui souhaite le transmettre aux jeunes et aux adultes qui le désirent. J Il s'agit de l'apprentissage du comorien shiNgazdja; ce n'est pas une alphabétisation mais un enseignement grammaticale, de la conjugaison, de l'orthographe, de l'analyse de textes en comorien, du lexique. Je suis chercheur et écrivain en langue comorienne et je veux dispenser des cours par correspondance via internet pour que les gens l'accaparent avant que cette langue ne soit engloutie comme l'île de Mdjumbi. Toute personne intéressée, peut m'envoyer un message à l'adresse: soilihi.said960@orange.fr Je vous transmets mes meilleurs voeux de bonne année et de réussite dans la vie et une considération des origines, indispensables à l'épanouissement intellectuel. Vous pouvez diffuser l'information aux autres iconiens et autresMerci Saïd. On fait tourner l'information !
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Merci de nous faire découvrir les Comores à travers vos très belles photos et vos commentaires.
Félicitations pour le travail réalisé.
Longue vie à YSIA qui est effectivement un très beau trait d'union entre la France et les Comores : j'ai l'impression d'y être !!
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